Bloup teste Tudor et Classiques Indispensables

Bonjour!

Il était une fois, un roi qui vivait dans un grand château, entouré de sa reine, et de la cour. Tout le monde était très heureux, vivant au rythme des festins et des bals. Les gentes dames sortaient leurs plus belles robes, les messieurs leurs plus beaux bijoux. La vie n'était que fête et amusement.



La reine Bloup appréciait tout particulièrement organiser de grandes soirées, qui duraient jusqu'à l'aube. Elle était reconnue dans tous les pays, et au delà, pour ses bals costumés. Mais il se murmurait une rumeur: la reine s’ennuierait au milieu de tous ces rubans volants et musiques de danse.



Elle passerait de plus en plus de temps loin des festivités, seule dans les salles vides du château. Elle contemplerait par la fenêtre le jardin, et l'horizon.



Le roi ayant eu vent de ces rumeurs, cru qu'elle regrettait son lointain pays. Il lui fit installer dans la salle de repas les couleurs de son père. De larges bannières furent rajoutées au mur, au côté de celles de la famille royale.



Mais cela ne changea rien. La reine continuait à avoir son regard triste. Le roi décida d'avoir une conversation avec elle, afin de comprendre quel était l'objet de sa mélancolie. La reine lui expliqua qu'elle rêvait, comme avant, de partir à l'aventure, à cheval.



Aussitôt dit, aussitôt fait, le roi, fou amoureux de sa femme, lui fit préparer une escorte et ils partirent dans une contrée non explorée. Ils rencontrèrent un ours, et un géant, qui parlaient d'une plante géante dévoreuse d'homme. Cette annonce intrigua la reine, qui voulu poursuivre son périple afin de rencontrer cette plante.



Le roi, peu rassuré, la suivi malgré tout, prêt à la protéger contre tous les dangers. Ils traversèrent des forêts très anciennes, où les arbres étaient centenaires et mesuraient plusieurs dizaines de mètres de haut. Un bucheron avait même, en en abattant l'un deux, conservé l'immense largeur du tronc en souvenir.



Et puis soudain, au centre d'une clairière, elle était là. La plante poussait tranquillement, entourée de statues à son effigie. La reine s'exclama: on dirait une vache, une plante vache !! Elle est si mignonne !



Mettant de côté toute prudence, elle s'approcha de la plante vache pour communiquer avec elle. Bonjour, lui dit-elle, que puis-je faire pour te rendre heureuse? La plante répondit qu'elle pouvait la caresser, jouer avec elle ou encore la nourrir.



Alors la reine ne se fit pas prier, et caressa avec tendresse cette plante si étrange. Le roi, observait de loin sa femme, non sans inquiétude.



Trouvant une sucette dans sa poche, la reine joua avec la plane vache. Cette dernière riait très fort, appréciant ce jeu du chat et de la souris.



Elle envoya ensuite un chevalier pêcher, afin de nourrir la plante de poisson. Celle ci fut fort contente de manger un espadon bien frais! La nuit tombant, la reine embrassa sa nouvelle amie, et alla rejoindre sa tente installée non loin de là.



Le lendemain, après plusieurs sans repas, la plante vache se trouva la gueule béante, un beau gâteau posé sur sa langue. La reine entendit une complainte qui venait du fond de la gorge de la plante: vient, vient manger mon gâteau ... Il est pour toi, c'est un cadeau ..



Le roi, affamé de n'avoir mangé que du pain sec au petit déjeuner, fut comme ensorcelé par la plante. Il se jeta sur le gâteau et .... GROUMPH, fut avalé par la plante sous les yeux ébahis de sa femme! Mais la plante le recracha, dégoutée ...



Le roi puait, il puait l'haleine et l'estomac de cette étrange plante! Sa femme se précipita vers lui, mais le roi ne la regardait pas. Ses yeux étaient vides, flous. Elle compris alors qu'elle avait perdu pour toujours son époux.



Le roi se précipita à nouveau sur le gâteau, et fut à nouveau avalé par la plante. Cette fois ci, ça en été fini. Le roi était mort. La faucheuse vint le chercher. Tout le monde pleurait, sauf la reine, stupéfaite de ce qu'il venait de se passer.



Elle s'approcha de la plante, et vint lui parler. Que dois-je faire, te féliciter d'avoir tuer mon époux? Te gronder plutôt? Ou bien traire le lait qui vient de remplir tes mamelles?



La reine, désespérée d'avoir perdu son roi, se mit à gronder la plante. Celle ci lui dit, ma reine, tu devrait être heureuse, l'homme qui est mort songeait à te quitter. Son amour n'était qu'apparence. Il voulait t'envoyer au couvent, lassé de ta mélancolie. Le voyage qu'il avait entreprit avec toi n'était pas pour te rendre ta joie de vivre, c'était pour se débarrasser de toi!



La reine, dépitée, lui demanda comment elle pouvait avoir obtenu cette information, elle n'avait jamais parlé avec le roi. La plante lui répondit, que la première fois, dans son estomac, le roi s'était confessé. Elle n'avait donc eu aucun scrupule à le manger la seconde fois! La plante proposa à la reine de boire son lait réconfortant, ce qui la reine fit avec plaisir.



Le lait était bon, frais, onctueux! La reine se sentit mieux, gorgée après gorgée !



La plante lui dit: grâce à moi, tu viens de gagner une journée supplémentaire de vie! Te voilà aussi reine du pays, ton mari mort, tu prends sa place sur le trône.



La reine, folle de joie, embrassa son amie. Elle ordonna à la troupe d'homme de hisser la plante sur une charrette, et la ramena au château. La plante fut installée dans les appartements privés de la reine, et l'on raconte qu'elle eu le plus long règne qui n'ait jamais existé ...

Conclusion

Deux sets radicalement opposés ont été présenté dans cet article:

- Tudor qui coûte 1 350 SimPoints
- Classiques indispensables qui coûte 1 200 SimPoints

D'un côté toute la richesse et les froufrous d'Henri VIII, de l'autre, des grands classiques des Sims, de quoi inventer des histoires palpitantes et rocambolesques .. !!
Une question reste sans réponse: mais pourquoi la Plante Vache n'était elle pas présente dans le jeu de base!